J’ai suivi la formation « Devenir rédacteur web » de Valérie Sakly en août et septembre 2019 pour la théorie et jusqu’en mai 2020 pour le rendu du dernier exercice. De la Nouvelle-Zélande au Canada en passant par le Vanuatu, l’Australie et la France, je vous raconte mon parcours dans la formation et la voie du mode de vie de digital nomade et comment et pourquoi j’ai sauté le pas de l’inscription.
Si je n’avais pas suivi cette formation je ne pense pas que j’aurais créé mon entreprise dès octobre 2019 et connu des chiffres d’affaires raisonnables dès le départ. Alors je vous explique pourquoi je la recommande particulièrement pour vous permettre à vous aussi de concrétiser votre projet !
Le moment où j’ai sauté le pas
En juin 2019, Valérie Sakly lance un concours sur Facebook pour faire gagner sa formation. J’y vois tout de suite l’occasion d’oser enfin me lancer. Il ne suffisait pas de « liker et partager » sa page. Nous devions écrire un article pour dire pourquoi nous aimerions vraiment devenir rédacteur web. J’étais en vacances au Vanuatu et j’ai écrit mon article test là-bas. C’était un peu fou, je ressentais de l’excitation, j’y croyais vraiment.
Le résultat ? Ben j’ai pas fait partie des 5 finalistes. Mais Valérie avait envoyé un mail à quelques-unes d’entre nous pour dire que nos textes étaient tout de même de bonne qualité, professionnels, et que nous pourrions aisément nous lancer.
En fait elle avait surtout privilégié l’originalité. Et c’est vrai que dans mes textes, je ne suis pas une « originale ». Je suis quelqu’un de très pragmatique. Je privilégie l’info claire, directe, concise. Pas d’envolées lyriques. C’est aussi une belle qualité mais qui ne convient pas pour toutes les communications. Il est bon d’en être consciente et de savoir se démarquer de cette façon, d’en faire un atout.
Mon parcours : de la formation à aujourd’hui
Voici les dates-clés de mon parcours de la formation à aujourd’hui, en passant par la création de ma micro-entreprise et mes premières missions. J’écris en parallèle où j’en étais dans ma vie au même moment pour vous montrer les possibilités de vivre en mode « digital nomade » avec cette activité.
- Juin 2019 : participation au concours / Vacances au Vanuatu (Précision : je vivais déjà en Nouvelle-Zélande, en PVT depuis août 2018)
- Août : inscription à la formation / Je commence un travail dans un hôtel en Nouvelle-Zélande
- Rendu de l’article Comment bien choisir son premier van
- Rendu de l’article Permaculture : 7 clés pour comprendre
- Fin septembre : fin de la formation théorique / Fin du travail à l’hôtel
- 1er octobre : déclaration de ma micro-entreprise / Début d’un nouveau roadtrip en Nouvelle-Zélande
- Début octobre : via le groupe privé Facebook, une ancienne élève me donne le contact d’un client
- Début novembre : début du travail avec mon premier client / Vacances en Australie
- De novembre 2019 à février 2020 : j’ai trois clients différents / Passage de 3 mois en France / 2 semaines de travail salarié
- Mai 2020 : rendu de mon dernier exercice « Être minimaliste au quotidien : par où commencer ? »
- Février à juin 2020 : j’ai deux clients puis un seul / Je suis en Permis Vacances Travail au Québec / Je fais en parallèle un HelpX de 5 semaines puis un travail durant 9 semaines / Je ne prospecte pas car je décide d’être disponible pour mon client actuel et de me concentrer sur mon intégration dans la vie québécoise (il y a beaucoup de choses à dire sur cet aspect du digital nomadisme !). Je reste cependant ouverte aux belles opportunités !
Et avant ça ? J’ai étudié trois années aux beaux-arts, j’ai obtenu une licence professionnelle en conception et médiation de projets culturels et un Master 1 en culture et médiation des arts du spectacle. J’ai toujours eu des cours de communication durant mes études et j’ai réellement appris le référencement web lors d’un stage en 2015. Enfin j’étais médiatrice culturelle et community manager d’un grand théâtre en CDI pendant 3 ans avant de m’envoler en Nouvelle-Zélande.
Pour en savoir plus sur la formation, cliquez sur cette bannière ! Et puis… si mon article vous donne envie de sauter le pas, je vous invite à passer par mon lien de parrainage qui me permettra de toucher une petite commission. 🙂
Ce que j’ai aimé dans la formation (et ce que j’aime toujours !)
- La clarté des leçons : elles vont à l’essentiel, elles sont courtes et efficaces.
- Les quizz : ils permettent de rythmer les leçons et de vérifier nos connaissances
- Les ressources : Valérie fournit plusieurs ressources tout au long de la formation. Les lectures permettent de ponctuer et compléter la formation. Je trouve ça plutôt intelligent de partager directement un contenu déjà écrit plutôt que de le recopier à sa sauce ! Cela offre aussi d’autres points de vue.
- Les exercices : c’est pour moi le gros plus de cette formation. Cela force à exécuter, à agir. On peut tous suivre des théories… passer à la pratique et être corrigé sur celles-ci, c’est autre chose ! Là, c’est CONCRET !
- La simplicité de compréhension : parfait pour les élèves débutants. Et de ce fait je ne recommande pas forcément cette formation à ceux qui ont déjà un niveau avancé en rédaction web et qui souhaiteraient renforcer leurs compétences. Le nom de la formation est de toute manière bien choisi : « DEVENIR rédacteur web », on parle bien d’un commencement, d’un lancement !
- Le groupe privé Facebook des élèves et son animation : je suis dans plusieurs groupes dédiés à la rédaction web. Dans certains je ne me sens pas à ma place. Il y a des groupes que je juge trop « communautaire » (private joke, moqueries, lynchages publics, égo surdimensionné de certains formateurs ou administrateurs…). Dans le groupe privé des membres de la formation, composé en majorité de femmes, il règne un esprit de solidarité, d’entraide, de bienveillance. Valérie anime ponctuellement le groupe. Par exemple, tous les lundis, elle demande des nouvelles de nos avancées, dans la formation pour les élèves actuels et dans le travail pour celles qui ont déjà leur activité. C’est motivant, chacun participe quand il veut, il y a toujours un peu d’activité sans que cela ne vire au spam !
- La disponibilité de Valérie : cela va de pair avec le groupe Facebook mais je soulève cet aspect en particulier. On sent vraiment qu’on peut s’adresser à Valérie sans avoir l’impression de déranger ou de poser des questions « bêtes », même s’il peut y avoir des petits délais d’attente (on est tous humains et encore… avec 3 enfants on peut parler d’être surhumain… !)
Pourquoi j’ai choisi celle de Valérie Sakly et pas une autre ?
Pour l’efficacité
J’avais lu que Valérie a condensé les informations qu’elle a mis plus d’un an à récolter en fouillant un peu partout et en y passant des heures. Son but était de faciliter le travail des personnes qui voulaient se lancer à leur tour. J’avais envie de ça : être efficace, ne pas perdre ce temps, me laisser guider. Avoir bénéficié des informations fournies de manière claire et concise sur une seule plateforme m’a permis de me concentrer sur l’essentiel, d’aller dans un processus dans lequel j’avance et de me lancer dans la création de l’entreprise.
Pour la relation de confiance
Valérie vient du Sud de la France mais avant de prendre la poudre d’escampette, elle résidait à… Marennes ! C’est la ville où j’ai grandi, où j’ai toute ma famille. Elle travaillait dans la même école qu’une autre Valérie qui est… ma cousine ! Je ne la connaissais pas directement mais j’entendais depuis longtemps parler d’elle, toujours en bien.
Quand elle a « tout plaquer pour devenir une famille nomade » et que cela est paru dans la presse, moi j’étais en train d’annoncer à mon employeur que je voulais voyager. Je me reconnaissais bien dans son projet (à une toute autre échelle bien sûr !).
Quand j’ai su qu’elle avait monté sa formation, je ne pouvais qu’avoir confiance, pas besoin de faire 1000 recherches pour être sûr de sa crédibilité. D’ailleurs beaucoup de ses élèves viennent du même coin. Alors… si son entourage lui fait confiance, pourquoi pas vous ?! 😉
Pour l’authenticité de la formatrice
Valérie est la créatrice du blog Ma tribu en vadrouille – Tout plaquer pour devenir une famille nomade. Elle est maman de 3 enfants. Je la trouve transparente sur son activité, inspirante et authentique. On ne ressent pas absolument pas l’effet « gourou » qu’on peut retrouver ailleurs…
Découvrez une interview de Valérie par l’une de ses premières élèves. Vous en saurez plus sur son parcours et notamment son mode de vie en tant que digital nomade !
Pour le contenu de la formation
Je trouvais qu’il y avait un bon rapport qualité-prix avec ce qui était proposé !
- 1 plateforme en ligne
- 10 modules
- 50 leçons
- 9 exercices
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Plus les années passent, plus tu m’impressionnes !
Oh ! Que dire de nous toutes ? 😉